18. Nos vivres sont épuisées
Il est 22h, nous nous arrêtons et allons frapper à la porte d’une ferme pour demander du pain. Nos vivres sont épuisées. Après un petit temps d’hésitation, Fernando, Diego et « Flaco », comme ils le surnomment, nous invitent à manger dans leur salon. Ils envoient le plus jeune chercher des côtes de mouton fraichement découpées et nous les cuisent au feu de bois. Nous nous régalons de ce mets simple mais tellement délicieux.