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Agrosourcing, maison mère de la marque Pépites, fidèle à ses engagements, accompagne et soutient depuis 5 ans Rémy Frissant et Frédéric Lagacherie dans le développement du projet « Amandera ». Alors que la récolte des amandes bat son plein au sein des vergers au nord d’Aix-en-Provence, Rémy Frissant, nous partage son parcours pour relancer la filière amandes de Provence en bio. Il nous explique comment Amandera utilise des ressources naturelles pour régénérer les sols et garantir une production d’amandes bio et durable, tout en préservant l’équilibre des écosystèmes.
Pépite (maison mère Agrosourcing) sont des précurseurs de la bio. Ils incarnent dans leurs filières ce que l’on attend d’une entreprise engagée dans un véritable état d’esprit de coopération humaine. Concurrencés par les grandes surfaces sur leur marché, ils ont à cœur de communiquer sur les problématiques des femmes et les hommes avec lesquels.les ils travaillent.
Valérie cultive des ananas dans les collines de Kirehe, au Sud du Rwanda. Partie d’une situation économique très compliquée après le génocide de 1994, elle a progressivement réussi à se construire un avenir pour elle et ses enfants grâce aux revenus tirés de la vente de ses fruits. C’est la coopérative qui sèche les ananas et les commercialise en qualité biologique. Davantage à l’abri du besoin, elle peut enfin se consacrer à l’entraide de ses voisins, notamment au travers d’un projet d’accès à l’eau potable pour tous.
Miss Vang, récolte des noix de cajou dans la province du Binh Phuoc, au Vietnam. Armée d’une volonté de fer et d’une bonne dose d’humour, cette femme au caractère affirmé, n’a eu de cesse de s’investir dans son exploitation pour subvenir à ses besoins et ceux de ses enfants. Avec le soutien de la coopérative Phuoc Hung, elle a pu obtenir le pré-financement de sa récolte, être accompagnée pour améliorer sa production de manière durable et biologique ou encore avoir de l’aide pour construire son logement. Fervente défenseuse de l’indépendance des femmes, elle s’engage à son tour auprès d’autres femmes.
Nirit cultive les dattes Medjool au sein du kibboutz de Samar, dans le désert au sud d’Israël. Au-delà de son engagement fort pour une agriculture biologique, c’est toute une philosophie de vie, basée sur le partage et l’entraide, que Nirit adopte au quotidien, aux côtés d’une centaine d’autres familles du kibboutz. Cette démarche éco-responsable, où l’on respecte l’humain autant que la nature, anime chaque jour ces cultivateurs avec la volonté de transmettre ces valeurs et ce mode de vie.
Miguel, producteur de pistaches dans les plantations d’Albacete en Espagne, en est un bon exemple. Arrivé par hasard dans le monde de la pistache et de l’agriculture biologique, il n’en est pas moins engagé et curieux d’apprendre chaque jour à composer avec la nature. Si son exploitation peut aller à l’encontre des idées reçues, avec une production très mécanisée, c’est aussi l’occasion de montrer les différentes facettes de l’agriculture biologique : une diversité de profils et de cultures, qui partagent une conviction commune.
Omar nous parle de son histoire et de son engagement pour la culture biologique bénéfique pour la santé des palmiers-dattiers, et de son choix de revenir sur ses terres pour vivre de l’agriculture.
Mehmet cultive les abricots sur les plateaux de Malatya, en Turquie, une région au climat propice et au savoir-faire incomparable pour la culture et le séchage de ces fruits. Ce pays est en effet riche de pratiques ancestrales qui se perpétuent encore aujourd’hui pour donner de beaux fruits, en qualité biologique. Mais à l’heure où les plus jeunes partent travailler en ville et sont attirés par les métiers du tertiaire, les producteurs de fruits doivent faire face à de nouveaux défis pour trouver leur successeurs, transmettre leur savoir et perpétuer leurs cultures, c’est le cas de Mehmet, producteurs d’abricots.
Il y a près de 15 ans, Federico a fait le pari un peu fou de redynamiser la vallée de Pinoso, près d’Alicante en Espagne, en développant la culture de l’amandier en qualité biologique… A force de patience, de convictions et d’obstination, il est parvenu à sélectionner et implanter la variété Guara, particulièrement qualitative et adaptée au terroir, à développer une méthode de culture originale lui permettant d’éviter les amandes amères et à convaincre d’autres agriculteurs de le suivre dans cette belle aventure. Jour après jour ils ont su faire face aux défis de la culture biologique, trouver le juste équilibre avec la nature et conserver des plantations à taille humaine et en s’appuyant sur les savoir-faire traditionnels.
