Notre point de départ en Asie pour rentrer jusqu’en France. Son immensité est impressionnante mais fascinante. Nous passons de longues heure à vadrouiller dans ses rues, ses temples, ses marchés et découvrons la vie de sa population qui s’élève à 12 millions d’habitants. Une vraie mégapole.
Siphay et Etienne profitent de ces 3 semaines de repos pour recharger les batteries, et penser à autre chose. Rien de mieux qu’une bonne bière. La vue sur la plage de Koh Tao est plutôt pas mal !!!
Tandis qu’Etienne, Siphay et Brian sont déjà en Thaïlande, Morgan profite de la proximité de l’Australie avec la Nouvelle Calédonie pour rejoindre une partie de sa famille vivant là bas et passer les fêtes de fin d’années tous réunis après plus de deux ans. Du pur bonheur !
Rien de tel que du jus de coco glacé pour se rafraîchir dans la ville étouffante qu’est la capitale. Dans le brouhaha de la circulation, avec la pollution en bord de route, sous le fouillis de câbles électriques, cette vendeuse reste très calme et ne montrera aucun signe de stress !
Le choc d’une nouvelle culture nous fait palpiter une nouvelle fois dans ce voyage. Nous voici en Asie, un continent ancien qui contraste avec la dernière année passée en Amérique du Nord et en Australie, deux continents relativement vides. Ici, nous sentons très vite le poids des millénaires qui ont forgé la culture du continent.
Bangkok c’est aussi un point névralgique de l’économie asiatique. Les buildings ont poussé comme des champignons et la tailles du CBD (Central Business District) laisse présager de l’activité qu’il s’y fait chaque jour.
Le Wat Pho à Bangkok est chaque jour envahi par les touristes. Ce temple bouddhiste est impressionnant par sa beauté mais aussi par l’immense Buddha couché comme attraction principale. Notre philosophie en général est de s’écarter des sentiers battus mais nous devons reconnaître qu’il y a de ces merveilles que l’on ne peut pas manquer de voir…
Ailleurs que dans les gros temples très (trop ?) touristiques de Bangkok, il est bon de s’arrêter dans les lieux de cultes plus petits et moins fréquentés par les aficionados de la gâchette numérique. Ici, on peut s’asseoir et regarder comment les locaux vivent le culte de la prière. Personne ne vous dira rien, les temples sont ouverts à tout le monde et les moines vous invitent à y entrer avec un sourire sincère. Il faut juste penser à enlever ses chaussures.
Les moulures et l’architecture des temples bouddhistes est vraiment exceptionnelle. Jugez vous-même.
Le Buddha comme on aimerait le voir plus souvent, dans la sérénité de la mère nature.
Etienne s’essaie à la prière dans un de ces magnifiques temples.
Les habitants et la découverte de la culture asiatique nous fascinent ! Rien de tel qu’une fin de journée à contempler le soleil disparaître pour se rappeler que la nature est aussi intéressante dans le pays.
Impossible de passer du temps en Thaïlande sans s’essayer à la boxe thaïe (Muay Thaï). Etienne sortira de là sans fracture, ouf !
Contraste d’une ville à l’héritage culturel exceptionnel et en même temps extrêmement active économiquement. Cela donne à Bangkok son caractère où à la fois touristes, moines et hommes d’affaire se côtoient dans les rues.
Le trafic de Bangkok et son désordre ordonné. Il n’est pas rare que la majorité des gros axes soient saturés, notamment par ces taxis qui parfois refusent de vous prendre aux heures de pointe d’un bout à l’autre de la ville de peur d’être englués dans ces files interminables…
Un bon nombre de gens dorment là où ils peuvent dans la métropole. Ici, sur un grand axe central, les fêtards côtoient les plus démunis et cela sans encombres. La réalité est parfois triste à voir.
3H00. Scène quotidienne du soir classique sur Sukhumvit, une avenue principale de la capitale thaïlandaise : on peut toujours acheter un petit truc à manger ou partir en moto taxi.
En premier plan, un homme trie des déchets afin de récupérer un peu d’argent, mais c‘est bien là qu’il demeure !
En fond, les filles de joie et les « ladyboys » se mêlent au décor dans leur tenue aguicheuse dès que la nuit tombe.
Etienne en pleine action dans notre nouveau moyen de transport : le vélo tracté par un camion. Ça fatigue moins et ça va plus vite ! En général les conducteurs de camion ralentissent un peu pour nous donner un coup de main sur plusieurs dizaines de kilomètres.
Le vélo, le sourire, le chapeau, les claquettes… On aime la Thaïlande ☺
Lors des 400 km entre la capitale thaïlandaise et la frontière cambodgienne Etienne, Siphay et Morgan ont fait environ la moitié en s’accrochant derrière les camions, fourgonnettes ou les pick-up qui veulent bien accepter un passager clandestin. C’est d’ailleurs souvent avec un grand sourire et un pouce levé que l’on peut observer nos anges gardien dans le rétroviseur. Ce jour là nous enregistrons une pointe à 79,4km/h tandis que Brian avance seul au rythme du vélo.
Brian : « Depuis Bangkok je ne me sentais pas de m’accrocher aux camions comme les copains, question de feeling. J’ai quand même voulu essayer, résultat : j’ai chuté et mon vélo est passé sous les roues d’un camion. Je n’ai rien eu mais j’ai cassé le porte-bagages arrière que j’ai réussi à faire réparer et ressouder. De même, mon cadre a nécessité une soudure, mon casque à l’intérieur de ma sacoche a explosé en morceaux et mon PC est presque mort… Je m’en suis sorti plutôt bien et mon vélo aussi finalement. Du coup désormais j’essaie d’écouter mon instinct plus attentivement. »
Se promener la nuit dans les villes thailandaises est une expérience à vivre. Vous passez d’une rue à l’autre avec cette sensation de partager un immense appartement avec les habitants du quartier. Depuis le trottoir vous croisez le regard de ces gens installés dans leur salon, devant la TV ou autour d’un thé. Cet environnement délabré et sale contraste fortement avec un sentiment de sécurité propre à l’Asie du Sud-Est.
Ah la cuisine thaïe ! Quel régal ! En arrivant d’Australie où la nourriture était chère, nous ne pouvions pas nous permettre de bons repas. Autant dire qu’ici nous y allons de bon cœur dans ces petits marchés qui regorgent de choses nouvelles et délicieuses à chaque fois. Nous sommes tristes d’avoir quitté si tôt ce pays génial et la cuisine en est une bonne raison.
Beaucoup d’habitations sont bâties le plus simplement, quelques morceaux de tôles suffisent parfois sur une structure en bois, c’est plus économique mais on peut s’apercevoir que le toit dégringole peu à peu au dessus de l’eau. Arrivant de pays occidentaux, le contraste peut être choquant, mais oui une famille y vit bien !
Dans les allées de ce petit port de pêche, une vie tranquille se déroule : les mères de famille étendent leur linge, les enfants jouent tandis que d’autres se déplacent en scooter sur les maigres parcelles juste au dessus de l’eau.
La pêche est une activité qui fait vivre ce village. Ici, portrait d’une femme aidant au tri de la pêche.
Avec un tel climat, les thaïlandais travaillent devant chez eux avec leur intérieur ouvert sur les allées. Ici, un homme rafistole un filet de pêche.
La barrière de la langue, nouveau challenge au quotidien pour se faire comprendre. Dans tous les pays dans lesquels nous étions passés jusqu’à présent, nous pouvions parler la langue. Heureusement que les chiffres et la manière de compter sont universels ! Ici, Brian tente de se faire comprendre pour acheter des cordes pour accrocher son hamac.
Addie, accompagnée de son petit neveu Mikki. Ce sont eux qui nous ont invités à dormir chez eux à Khlong Yai. Nous prenons un jour de pause dans ce village charmant. Addie nous réserve un accueil aux petits oignons, nous fait découvrir les environs et nous parle de la culture et des traditions thaïes.
En visite à Khlong Yai, Addie et Micha en on profité pour nous faire visiter une ferme au crocodile qu’un de leur ami exploite.
Plus de 6000 crocodiles sont ici élevés pour leur viande, mais aussi et surtout pour leur peau. Des sacs à main et des chaussures par milliers en perspective. Au final, comme nos élevages de vaches, cette ferme permet de ne pas aller chasser et éteindre une espèce dans leur milieu naturel.
La marée inonde parfois les villes en bord de mer, mais les deux roues paraissent être un prolongement naturel du corps des thaïs ! C’est carrément une religion.
Le port de pêche de Khlong Yai. De quoi nous rappeler notre point de départ au Grau du Roi, mais en plus archaïque et certainement plus coloré ! Dans tous les cas très charmant. Ici un bébé se promène. Dés le plus jeune âge, les enfants apprennent à se débrouiller seul et sont un peu livrés à eux-mêmes, avec un petit œil de loin. Nombreuses seraient les mamans occidentales effrayées de voir leur petit marcher seuls sur ces pontons !
Portrait d’une travailleuse de la pêche
Au moins, cet homme peaufinant son matériel n’a pas à beaucoup marcher pour se rendre au travail ! Comme la plus part des maisons, on peut y apercevoir la photo du Roi (NOM). Parler du chef d’état exerçant depuis le plus longtemps est un sujet délicat à aborder. Sans trop avoir d’avis, les habitants nous déclarent simplement qu’ils sont satisfaits de leur roi. Attention de ne pas le critiquer ou quelqu’un vous rentrera très vite dedans !
Lorsque la marée est haute, l’eau monte jusque dans les rues du village. Ici une photographie d’une scène quotidienne typiquement thaïe. L’accoutrement des cyclistes en particulier donne le sourire.
Vue d’en haut sur Khlong Yai, ce petit port de pêche qui reste un village typique thaï pas encore envahi par les touristes. Les maisons sont construites sur pilotis et le village vit essentiellement de la pêche. Derrière les montagnes séparent la Thaïlande du Cambodge, ce sera déjà le début d’un nouveau pays pour nous.
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