Novembre et Décembre 2010. Nous arrivons à São Paulo et roulons en direction de l’Uruguay. Nous vivons un mois inoubliable dans ce Melting pot géant !!!
Florianopolis. Les plages sont des lieux de vie où l’on joue, on danse, on mange et l’on fait la fête!
Nous trouvions l’endroit joli et hésitions à traverser la rivière quelques minutes plus tôt, par chance, nous ne l’avons pas fait 😉
Au Brésil vivent les plus gros rongeurs du monde, le cabiai ou capybara mesurant environ 1,30 m de long pour plus de 50 kg…
– Aqui tudo bem em Brasil ?
C’est à bord d’un voilier historique, fabriqué en 1885 et classé au patrimoine national, que notre hôte Lauro, nous a fait découvrir Rio Grande.
C’est ici que Daniel et Joëlle, à bord du voilier « Ocean Respect », étaient au mouillage lors de leur passage par Rio Grande do Sul. A noël nous avons rendez-vous à Ushuaia, de là nous partirons vers l’Antarctique…
Au Sud de Florianopolis, le vent fort est une contrainte pour nous mais un terrain de jeu pour les cigognes.
Le temps change très rapidement, et les nuages alliés au couché du soleil nous concoctent de belles fin de journée.
Entre Rio Grande do Sul et l’Uruguay, nous traversons une immense réserve naturelle. Les routes y sont longues, droites et monotones…
Aujourd’hui nous établissons un nouveau record… 210 km en une journée.
En se dirigeant vers le Sud, les montagnes laissent place à des plaines d’un vert parfois irréaliste.
« Mais puisque je te dis que c’est par là la route !!! »
Ce soir là nous nous protégeons de la pluie le long d’un hangar.
L’hétérogénéité du Brésil…les habitants, mais aussi les paysages!
Au fil des km la jungle laisse place à une végétation de type plus méditerranéenne.
Brazil
Les autres camionneurs n’attendent pas l’arrivée des secours et s’empressent d’extraire le chauffeur de la cabine. Heureusement, il s’en sort sain et sauf.
Les camions roulent vraiment très vite et les accidents sont fréquents. Ici, nous sommes arrivés seulement une ou deux minutes après que ce semi-remorque se soit retourné.
Morgan rencontre quelques problèmes avec son moyeu arrière. Le réparer nécessite beaucoup de temps et nous sommes pressés, il va donc rouler plus de 600 km avec « seulement » 8 vitesses. Mais heureusement le service d’assistance de Rohloff, très réactif et efficace, s’occupe de nous envoyer les pièces de rechange à Ushuaia.
Florianopolis. Petie pensée pour notre amie « petit machin »…
Florianopolis. Après une journée vélo, rien de tel qu’une petite baignade sur une île paisible, en compagnie de nos hôtes.
Florianopolis. Tout le monde semble enchanté de la journée passée à pédaler au bord de plages, de lagunes et de montagnes.
Florianopolis. Dès que nous nous arrêtons pour boire ou manger, en plus d’attacher solidement nos vélos, nous nous débrouillons toujours pour qu’ils soient dans notre champ de vision.
Florianopolis. D’ordinaire nous n’utilisons pas nos vélos lors des jours de repos…mais notre hôte avait organisé un tour de l’île avec une dizaine de personnes, nous ne pouvions pas rater cette occasion!
Florianopolis. Un journaliste brésilien nous arrête et nous pose quelques questions, affirmant vouloir réaliser un article sur notre périple…
Curitiba. Située à 1000m d’altitude et appelée « Cité-modèle de l’Amérique latine » elle est un exemple de planification du développement urbain, avec notamment l’invention du métro de surface.
Curitiba. Au Brésil, nous découvrons un nouvelle manière d’entreposer les ordures ménagères : perchées dans une cage à plus d’1,50m de haut elles sont inaccessibles aux chiens. Les plus démunis y récupèrent les canettes et tout objet susceptible d’avoir la moindre valeur marchande.
Curitiba. Nous arrivons en ville vers 15h et avons rendez-vous avec un couchsurfeur vers 19h. Connaissant l’adresse de sa maison, nous attendons devant et profitons de quelques heures de repos.
Entre Registros et Curitiba. L’eau est omniprésente dans cet immense pays !!!
Le passage incessant des camions nous donne parfois un peu mal à la tête. En effet, nous sommes surpris de constater que sur les grands axes brésiliens il y a environ 5 camions pour une voiture.
10 min plus tard, nous déjeunons dans ce restaurant des « 3 amigos ». La formule proposée « nourriture à volonté » nous est très favorable au vue des quantités ingurgitées !
Au Brésil nous dormons rarement sous la tente. En effet, les abords des routes sont parsemés de barrières et de propriétés privées… pas facile de trouver un espace libre…
Plus le temps passe, et plus nous nous confortons dans l’idée que le vélo est un meillleur moyen de voyager que la marche 😉
Les petites haltes nous réservent parfois de belles surprises comme ici où nous apercevons ce superbe décor en contre-bas.
Registros. Nelson, un motard amateur de vélo, nous invite chez lui. C’est avec plaisir que nous parcourons ses albums photos en écoutant ses histoires et anecdotes.
Certains tronçons de route ne sont pas munis de bande d’arrêt d’urgence ce qui nous oblige parfois à rouler dans l’herbe, lorsque la circulation est trop dense.
Ici, encore plus qu’ailleurs, nous nous régalons de bananes à petits prix et grande valeur énergétique.
Péruibe. »piscine naturelle » au milieu de la jungle…l’eau est fraîche, mais la baignade est délicieuse.
Péruibe. C’est bon, ça passe 🙂
Péruibe. Où sont tes chaussures petit chenapan ? Et les serpents alors ?
Péruibe. Antonella nous emmène rejoindre une cascade perdue au milieu de cette nature sauvage…
Péruibe. Parc écologique Jureia-Itatins. Nous partons visiter les alentours sous un ciel menaçant.
Péruibe. Antonella, une couchsurfeuse, nous accueille dans sa superbe maison aux abords d’une jungle dense et riche. Les détours que nous devons faire pour nous rendre chez nos hôtes nous permettent de découvrir des coins reculés et sauvages.
Nous pouvons enfin profiter des premiers rayons de soleil… après 5 jours à Santos, nous reprenons la route vers le Sud et sommes émerveillés par les nombreuses îles bordant les plages.
Santos. Paulo, un ami de Siphay, nous accueille généreusement dans l’appartement qu’il partage avec sa soeur et ses grands parents. Ils insistent pour que nous rangions les vélos dans la cuisine et nous offrent de délicieux repas.
Les gens nous prennent parfois pour des fous lorsque nous roulons sur l’autoroute dans de telles conditions, mais certaines parties du Brésil ne nous offrent pas d’autres alternatives.
Il est parfois agréable de quitter le macadam et de s’aventurer dans les sentiers boisés. Cependant, pour des questions de timing, nous ne nous attardons pas trop longtemps et rejoignons l’axe principal.
Heureusement nous ne payons pas les péages 🙂
Nous arrivons à l’aéroport de São Paulo le 09 novembre 2010. Après une nuit sur place nous filons vers Santos, 100km vers la côte. Nous évitons la ville et prenons l’autoroute qui contourne la mégalopole.
Nous sommes surpris de découvrir la pays de la Samba et du football sous la pluie et le brouillard… nous roulons toute la journée dans des conditions difficiles : pluie, camions, autoroutes…
Le 7 décembre 2010. Nous quittons le Brésil avec un petit pincement au coeur tellement nous avons aimé cette région du monde et ses habitants…
Le Sud du Brésil nous offre des forets moins denses dans lesquelles nous pouvons trouver refuge pour faire des sièstes à l’abri du soleil.
En fin de journée, nous nous arrêtons parfois près des églises, généralement situées au centre des villages, afin de provoquer de belles rencontres.
Sable blanc, eau turquoise… bienvenus à Florianopolis
Florianopolis. Trevor, un couchsurfeur américain nous invite dans sa colocation constituée d’un Espagnols, d’un Argentin et de deux Brésiliennes. Le repas est toujours un moment convivial…ce soir là, nous échangeons sur les modes de vie dans les différents pays.
Joinville. Eduardo a sauvé un perroquet il y a quelques années, il fait désormais partie de la famille et se déplace en toute liberté dans la maison!
Curitiba. Pedro, un excellent couchsurfeur, nous héberge dans son 20m² ainsi que 2 autres brésiliens. Nous nous retrouvons à 6, plus nos 3 vélos, dans cet espace réduit. L’ambiance y est tellement bonne que nous y restons finalement 3 jours.
Au Brésil les autoroutes sont souvent le seul moyen de joindre deux villes… et les camions roulent aussi vite que les voitures…
Nous ne nous attendions pas à des routes aussi vallonnées. Dans ces circonstances, généralement nous prenons une pause de 15min toutes les heures et demie.
Lorsque le beau temps est au rendez-vous, les paysages et les couleurs nous éblouissent. Nous retrouvons le vert et le bleu du drapeau national.
Péruibe. Nous rencontrons ici un colombien magique. Il nous raconte sa vie atypique tout en fabriquant une sauterelle avec une feuille de palmier que nous garderons en souvenir.
Santos. Notre ami brésilien nous fait découvrir la ville et nous invite dans ces petits restaurants locaux ouverts 24h/24.
Brésil – France : 12 ans plus tard, on remet ça !!!
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