Octobre et Novembre 2010. Nous passons 20 jours au pays de la Teranga, entre Saint-Louis, Saly et Dakar.
Décollage imminent, nous partons vers le Brésil.
Le 8 novembre la famille et les amis nous accompagnent à l’aéroport.
L’entreprise SDV implamtée à Dakar a eu la gentilesse de conditionner nos vélos pour le vol Dakar-Sao Paulo. Merci à toute l’équipe !!!
Gérard Sénac, PDG d’Eiffage Sénégal est l’un de nos plus grand partenaire. Il soutient activement notre aventure et nous a réservé de belles surprises lors de notre séjour au Sénégal
Voici une partie de l’équipe qui nous a permis de traverser la frontière mauritanienne avec succès mais non sans difficultés. Merci à Jeannot, Tony et Jean-Michel.
– Chérie, le repas est prêt ? – Bientôt inch Allah*.
Nous profitons des derniers rayons de soleil sénégalais avant d’entamer notre route en Amérique du Sud.
L’architecture de l’île de Gorée est issue de l’histoire coloniale.
L’Île de Gorée est située dans la baie de Dakar. C’est un lieu symbole de la mémoire de la traite des esclaves en Afrique, il est distingué à ce titre par l’UNESCO.
…les embouteillages continuent, mais sont d’un autre type 🙂
Un accident ayant provoqué de longs embouteillages sur la route principale, nous empruntons des chemins parallèles…
Claude, le père de Morgan nous aide à fixer les vélos sur le 4×4…cette opération est minutieuse!
Bertrand discutant avec les vendeurs de souvenirs au couché du soleil.
– Alors ma belle gazelle, on vient profiter de l’ombre avec moi ?
Morgan retrouve ses anciens camarades de jeu 🙂
Notre passage dans les villages éveille la curiosité des plus jeunes.
Les varans sont plus impressionants que dangeureux, ils sont omniprésents dans la region.
Le cheval (ou l’âne) et la charue sont les moyens les plus communs pour transporter des hommes ou des marchandises en dehors des routes bitumées.
Nous ne tenterons pas de le réveiller…
C’est à Saly que nous pofitons d’un peu de confort et d’espace pour remettre nos vélos en état suite aux 4000km parcourus.
Nous quittons Saint-Louis et parcourons les 511m du pont Faidherbe une dernière fois…
Notre séjour à Saint-Louis s’achève par la visite du chantier de réhabilitation du pont Faidherbe, ancien lieu de travail de Morgan.
Les jeunes Talibés sillonent les rues de Saint-Louis à la recherche de quelques francs CFA qu’ils devront remettre au marabout auquel ils ont été confiés pour leur éducation.
Les pirogues font aussi office d’aire de jeux pour les enfants.
Saint-Louis est l’ancienne capitale de l’AOF (Afrique Occidentale Francaise) et on y retrouve de nombreuses traces de l’époque coloniale comme cette boulangerie où l’on cuit de succulentes baguettes.
L’art africain.
Notre resto préféré 🙂
Dado nous explique que son enfant ne peut s’endormir ailleurs que sur son dos.
En cours de réparation…
Le fleuve sénégal est source de vie.
Les pélicans nous impressionnent par leur taille et leur appétit vorace…
Zebrabar, un campement au Sud de Saint-Louis, paisible et sauvage.
Mame Coumba, la danseuse du groupe de Mama Sadio, nous régale de différentes danses typiques de ce pays.
La famille et les amis nous rejoignent au Sénégal pour 10 jours de bonheur durant lesquels les vélos resteront dans le garage.
Insubmersible ??
Partie de pêche acrobatique.
Petit à petit, nous apprenons à faire des photos d’animaux… »patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ».
Petite excursion en quad dans la savane africaine.
Photo de famille…
On kife la life !!!
Le pont Faidherbe est l’unique lien entre l’île de Saint-Louis et le continent. Il est le passage obligé de millier de personnes et de véhicules chaque jour.
Un peu moins acceuillant que les sénégalaises 🙂
Prendre un taxi sénégalais est une expérience à vivre : klaxon, porte qui ne ferme pas, plancher troué, possibilité de monter à 7 dans une 5 places….
Comme au Maroc et en Mauritanie, l’hivernage 2010 a laissé des séquelles.
Nos haltes sont l’occasion de savourer la joie de vivre et la bonne humeur des enfants sénégalais.
Rapidement repérés, nous avons juste le temps d’immortaliser cette scène
La communauté des pêcheurs de Saint-Louis est l’une des plus importantes de l’Afrique de l’Ouest. Guet Ndar est le quartier des pêcheurs, où vivent plus de 25 000 personnes, sur une étroite langue de sable.
…et nous non plus 🙂
Les singes n’ont pas la vie facile…
…et nous faire confectionner des tenues « sur-mesure ».
Nous profitons de notre halte pour acheter du tissu…
Nous partageons une tieboudienne (poisson, riz, légumes…) avec la famille de Mamy, une amie de Morgan
Saint-Louis, ville entourée par les eaux.
Notre arrivée à Saint-Louis est marquée par l’acceuil chaleureux des anciens collegues et amis de Morgan.
En cette fin d’hivernage (période chaude et humide), la végétation est abondante, pour le plus grand bonheur des herbivores
Nos gourdes étant vides, Bertrand part demander de l’eau dans le village situé à une centaine de mètres de notre abrit. A peine a-t-il commencé sa phrase qu’il est invité à se joindre à leur table
A mi-chemin entre Rosso et Saint-Louis, nous nous accordons une pause à l’abri de la chaleur humide de ce mois d’octobre. Un viel homme aidé d’un enfant nous apporte un tapi et nous invite à nous y installer plutôt que de rester dans l’herbe.
Sénégal, Octobre 2010 Nous sommes restés 20 jours au pays de la Teranga, entre Saint-Louis, Saly et Dakar. We stayed 20 days on the Teranga’s land around Saint-Louis, Saly and Dakar
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