Siphay dans l’effort
Du 12 au 13 mai il a plu toute la nuit. Nous attendons que le crachin passe son chemin et ce n’est que vers 10h30 que nous levons le camp pour entamer une des journées les plus difficiles de ce voyage. La boue est partout et les pentes sont toujours aussi raides, dépassant régulièrement les 15% d’inclinaison. Lorsque nos roues ne glissent pas dans la boue elles récoltent des kilos de cette pâte collante. Sur certaines portions nous sommes obligés de pousser et de nous arrêter tous les cinq mètres pour enlever la boue qui bloque complètement nos roues.