Menu
La jeunesse de Vientiane | Solidream - Rêves, Défis et Partage - Récits, films documentaires d'aventure
9550
attachment,attachment-template-default,single,single-attachment,postid-9550,attachmentid-9550,attachment-jpeg,eltd-core-1.2.1,borderland-theme-ver-2.5,ajax_fade,page_not_loaded,smooth_scroll,side_menu_slide_with_content,width_470, vertical_menu_with_scroll,essb-8.5,wpb-js-composer js-comp-ver-6.9.0,vc_responsive

La jeunesse de Vientiane

Vientiane. Nous voilà enfin dans une grande ville laotienne après 800 kilomètres depuis le Vietnam. Pour une superficie de prêt de la moitié de la France on ne compte que 2 grandes villes et guère plus de 6,5 millions d’habitants. État voisin de la Chine, la majorité des produits viennent de là-bas. Il est donc difficile de ne pas tomber sur de parfaites contrefaçons, pour les vêtements, les nouveautés électroniques, mais aussi les équipements sportifs. Sur cette image ce sont des vélos « fixie » made in china. De parfaites copies des modèles très tendances à San Francisco par exemple. Mais malheureusement leur durée de vie est courte et ils ne brilleront pas longtemps… De même que la télévision, ces produits font vivre certain jeunes laotiens dans un monde d’illusion où les besoins qu’ils se créent ne correspondent pas à ceux de leur société ni de leur culture.

Vientiane. Nous voilà enfin dans une grande ville laotienne après 800 kilomètres depuis le Vietnam. Pour une superficie de prêt de la moitié de la France on ne compte que 2 grandes villes et guère plus de 6,5 millions d’habitants. État voisin de la Chine, la majorité des produits viennent de là-bas. Il est donc difficile de ne pas tomber sur de parfaites contrefaçons, pour les vêtements, les nouveautés électroniques, mais aussi les équipements sportifs. Sur cette image ce sont des vélos « fixie » made in china. De parfaites copies des modèles très tendances à San Francisco par exemple. Mais malheureusement leur durée de vie est courte et ils ne brilleront pas longtemps… De même que la télévision, ces produits font vivre certain jeunes laotiens dans un monde d’illusion où les besoins qu’ils se créent ne correspondent pas à ceux de leur société ni de leur culture.