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Le Tak Bat | Solidream - Rêves, Défis et Partage - Récits, films documentaires d'aventure
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Le Tak Bat

Le Tak Bat C’est l’expression profonde de la générosité, une vertu cardinale pour le peuple lao et une source particulière de mérites religieux pour les fidèles bouddhistes. Ce rite constitue probablement le lien le plus étroit entre les laïcs et les moines. Il est toujours pratiqué avec une profonde conscience de sa beauté, avec ferveur, concentration, sérieux et une grande implication. La plupart des bouddhistes de Luang Prabang font cette offrande chaque matin. Tôt le matin, on prépare dans ce but du riz cuit le jour même. Les fidèles se mettent à genoux, pieds nus par humilité sur une natte et attendent la file des bonzes (moines). Ils déposent rapidement en silence et les yeux baissés un peu de riz dans le bol à aumône de ces derniers. Plus rarement gâteaux et fruits sont offerts. Les fidèles accomplissent avec joie cet acte généreux dont les bienfaits rejailliront sur eux-mêmes, sur leurs proches en vie ou disparus et sur tous les êtres vivants. De leur côté les bonzes méditent sur l’impermanence et sur le sens de ces offrandes qui symbolise leur pauvreté, leur humilité et leur dépendance volontaire de la communauté des laïcs pour leurs besoins matériels. De retour à la pagode, les bonzes partageront ce riz, accompagné de plats apportés par les fidèles. Ils prendront ce premier repas de la journée en silence. (source : http://www.apsaraventure.com/)

Le Tak Bat
C’est l’expression profonde de la générosité, une vertu cardinale pour le peuple lao et une source particulière de mérites religieux pour les fidèles bouddhistes. Ce rite constitue probablement le lien le plus étroit entre les laïcs et les moines. Il est toujours pratiqué avec une profonde conscience de sa beauté, avec ferveur, concentration, sérieux et une grande implication. La plupart des bouddhistes de Luang Prabang font cette offrande chaque matin. Tôt le matin, on prépare dans ce but du riz cuit le jour même. Les fidèles se mettent à genoux, pieds nus par humilité sur une natte et attendent la file des bonzes (moines). Ils déposent rapidement en silence et les yeux baissés un peu de riz dans le bol à aumône de ces derniers. Plus rarement gâteaux et fruits sont offerts. Les fidèles accomplissent avec joie cet acte généreux dont les bienfaits rejailliront sur eux-mêmes, sur leurs proches en vie ou disparus et sur tous les êtres vivants. De leur côté les bonzes méditent sur l’impermanence et sur le sens de ces offrandes qui symbolise leur pauvreté, leur humilité et leur dépendance volontaire de la communauté des laïcs pour leurs besoins matériels. De retour à la pagode, les bonzes partageront ce riz, accompagné de plats apportés par les fidèles. Ils prendront ce premier repas de la journée en silence. (source : http://www.apsaraventure.com/)